Je suis tombé sur le cas il y a quelques temps, avec une carte mère MSI Z77A-GD55, qui il est vrai, n’est plus toute jeune. Cependant elle fonctionne encore bien, et j’aime bien faire durer le matériel. L’installation de Debian en UEFI s’est déroulée sans encombres, et après coup, c’est vrai que c’est rigolo que le média d’installation ait bien démarré en UEFI, mais que le système final n’arrive pas à démarrer Debian en UEFI.
En effet, le projet Nextcloud distribue un package de la version communautaire du serveur OnlyOffice Document Server, installable en un clic, mais c’est une version orientée tests. En conséquence, il est déconseillé d’utiliser ce package pour de la production, même si c’est juste pour un petit cloud perso. Perso ne veut pas dire pas fiable ou de mauvaise qualité. De plus, dans certaines situations, il n’est pas possible d’utiliser ce package, par exemple quand la plateforme qui fait tourner l’instance Nextcloud n’est pas 64 bits. Dans ce cas, il faut en venir à réaliser sur une machine dédiée l’installation d’un serveur OnlyOffice Document Server pour l’associer à une instance Nextcloud qui tourne sur une autre machine.
Le but ici sera bien sûr de pouvoir utiliser l’éditeur en ligne de documents bureautique de OnlyOffice Document Server directement depuis l’interface web de Nextcloud.
L’installation va se faire sur un serveur motorisé par Debian Buster.
Pourquoi faire un petit peu d’ornithologie alors que je ne suis pas vraiment un ornithologue amateur, malgré le fait que j’aime bien les animaux en général. Cependant, de temps en temps il se produit quelque chose, quand on rencontre un individu (humain, animal, ou autre…) : un flash parfois, un coup de foudre pour les chanceux, un choc graphique pour les esthètes, ou simplement une interrogation, un petit truc qui en appelle à la curiosité de chacun.
Le défi du jour (ou de la semaine…) : passer mon serveur Zabbix de la version 4.4.10 à la version 5.2. Dans la mesure où il y a une version intermédiaire entre les deux, la 5.0 (une LTS), je vais passer par celle-ci avant de monter en 5.2. Les raisons sont que je vais en profiter pour vérifier que tout va bien en 5.0 avant de continuer la montée de version, mais aussi que les notes de montée de version 4.4 -> 5.0 comportent plusieurs mises en garde (comme nous allons le voir plus loin) , alors que la mise à jour 5.0 -> 5.2 semble n’être qu’une quasi-formalité.
Ce blog a changé d’adresse, et j’ai eu la mauvaise surprise de constater qu’après, toutes les images étaient cassées (il n’y en a pas beaucoup, mais quand même…).
En fait, quand on insère une image dans un article, celle-ci est liée avec son chemin absolu, pas relatif. Donc quand on déplace le site, paf, c’est le drame.
Si on questionne un moteur de recherche pour trouver des informations sur internet pour mettre en place un boot PXE depuis un dépôt géré par un serveur TFTP, on trouve des tas de résultats probablement tous super pertinents. Cependant, aucun howto rencontré lors de mes recherches ne proposait un système permettant de démarrer clonezilla en PXE en utilisant la liste suivante d’ingrédients:
En voici donc un, un tantinet quick and dirty, mais qui peut servir de point de départ. Le but recherché ici étant de mettre en place rapidement une petite infrastructure de création / déploiement d’images disque, pour cloner facilement des lots de PC sans avoir à multiplier les CD de boot ou autres clés USB.
En effet, dans un annuaire openldap, il n’existe pas pour un objet de classe posixAccount d’attribut listant les groupes auxquels il appartient. Ce sont les objets de type posixGroup qui eux, par l’intermédiaire de l’attribut memberUid, listent leurs membres. Il n’est par conséquent pas possible de lister les groupes auxquels appartient un utilisateur directement et en une seule requête à partir de son objet dans l’annuaire. On peut corriger ça avec le fait d’implémenter l’overlay « memberof » avec Openldap.
Dans l’optique de migrer l’instance de nextcloud 15 de mon petit auto-hébergement perso vers la version 16, afin de maximiser les chances de réussite, il est préférable de corriger tous les avertissements remontés dans le panel administrateur. Parmi ceux-ci, il peut y avoir le message suivant, demandant de changer le charset des tables avec mariadb.
MySQL est utilisée comme base de données mais ne supporte pas les caractères codés sur 4 octets. Pour pouvoir manipuler les caractères sur 4 octets (comme les émoticônes) sans problème dans les noms de fichiers ou les commentaires par exemple, il est recommandé d’activer le support 4 octets dans MySQL.
Il semble que ce message aurait du apparaître depuis longtemps, mais il se trouve que sur cette instance il n’est apparu que récemment.
Debian GNU/Linux est la distribution qui a ma préférence pour les machines linux de mon micro-datacenter. La sortie d’une nouvelle version est toujours une bonne nouvelle, et c’est récemment que la version 9 (Stretch) de Debian a quitté la branche stable pour passer oldstable, en laissant la place à la version 10 : Buster. C’est l’occasion d’une mise à jour de Debian Stretch vers Buster
L’expérience d’une mise à niveau d’une version de Debian vers la suivante est très variable d’un cas à l’autre, suivant la configuration initiale (environnement de bureau ou pas, services réseau avec un niveau minimal de technologie de chiffrement, interpréteur de langage de programmation qui n’accepte plus certaines fonctionnalités anciennes ne sont que quelques points de surveillance parmi tant d’autres…).
Par défaut l’agent SNMP windows peut fournir un grand nombre d’informations sur le système sur lequel il tourne, certaines à l’utilité peut-être un peu discutable. Concernant les disques, il remonte bien les informations de partition et de taux d’utilisation des systèmes de fichiers, mais rien concernant les entrées sorties disques, que ce soit en nombre d’IO ou en débit.